Contexte
On commence vraiment à parler d’écologie à partir des années 1960-70. Une nouvelle forme de demande sociale se développe, notamment dans les domaines politiques, éducatifs et associatifs.
L’écologie est une science holistique qui se soucie non seulement des interactions entre les éléments d’un système, mais également de l’évolution de ces interactions en fonction des modifications apportées à leur environnement. Et la Terre est un système complexe qui n’existe que par son équilibre. Mais à force que l’Homme exploite et surexploite les ressources de la planète, cet équilibre se fragilise. Pollution, déforestation, surexploitation animale et des ressources naturelles, l’avenir de la planète est mis en jeu. Si nous continuons dans cette voie là, celui-ci ne sera que plus réduit. Aujourd’hui, nous pouvons constater les conséquences de nos actes par le réchauffement climatique, l’extinction de la biodiversité.
Pour éviter un future catastrophique et préserver notre environnement, notre but est donc d’améliorer notre rapport avec la nature : par exemple, minimiser notre impact sur celle-ci pour qu’elle puisse retrouver l’équilibre que nous avons perturbé, pour nos besoins de développement et d’évolution.
Aujourd’hui, les médias commencent de plus en plus à nous alerter sur la cause environnementale, et nous influencent grandement à devoir changer nos habitudes du quotidien et devenir plus éco-responsable : recyclage des déchets que nous accumulons, ainsi que les diminuer, réduire notre consommation énergétique ou utiliser les énergies renouvelables, ... En bref, plein de petites habitudes simples que nous pouvons changer dans notre vie, faire un geste pour notre Terre qui elle nous a tant donné. La prise de conscience est nécessaire, et il faut agir vite pour prévenir et corriger notre impact sur l’environnement.
L’écologie est une science holistique qui se soucie non seulement des interactions entre les éléments d’un système, mais également de l’évolution de ces interactions en fonction des modifications apportées à leur environnement. Et la Terre est un système complexe qui n’existe que par son équilibre. Mais à force que l’Homme exploite et surexploite les ressources de la planète, cet équilibre se fragilise. Pollution, déforestation, surexploitation animale et des ressources naturelles, l’avenir de la planète est mis en jeu. Si nous continuons dans cette voie là, celui-ci ne sera que plus réduit. Aujourd’hui, nous pouvons constater les conséquences de nos actes par le réchauffement climatique, l’extinction de la biodiversité.
Pour éviter un future catastrophique et préserver notre environnement, notre but est donc d’améliorer notre rapport avec la nature : par exemple, minimiser notre impact sur celle-ci pour qu’elle puisse retrouver l’équilibre que nous avons perturbé, pour nos besoins de développement et d’évolution.
Aujourd’hui, les médias commencent de plus en plus à nous alerter sur la cause environnementale, et nous influencent grandement à devoir changer nos habitudes du quotidien et devenir plus éco-responsable : recyclage des déchets que nous accumulons, ainsi que les diminuer, réduire notre consommation énergétique ou utiliser les énergies renouvelables, ... En bref, plein de petites habitudes simples que nous pouvons changer dans notre vie, faire un geste pour notre Terre qui elle nous a tant donné. La prise de conscience est nécessaire, et il faut agir vite pour prévenir et corriger notre impact sur l’environnement.
Concept
Eco'Go ?
Eco’GO est un jeu de carte se basant sur des défis et questions, suscitant la réaction et la rapidité des joueurs pour déterminer le plus écolo d’entre eux. Sensibiliser aujourd’hui est très important, faire prendre conscience qu’il faut changer nos habitudes pour le bien de notre planète. A travers les devinettes, questions et challenges que propose Eco’GO, adopter de bons gestes devient un jeu d’enfant !
Un jeu «mobile»
En plus, le jeu de carte permet d’être facilement transporté de part sa petite taille. A la maison ou en déplacement, on peut facilement le ranger dans un sac ou même une poche. Un bon moyen de continuer à faire de bonnes actions pour l’environnement, partout où l’on va.
Eco’GO écolo
Le jeu de carte, contrairement aux jeux de plateau, demande beaucoup moins de ressource : moins papier, d’encre. C’est pour cela que le design sera très important afin de minimiser l’utilisation de ces matériaux qui nécessite pas mal d’énergie, que ce soit à travers le design des cartes et celui du packaging.
S’amuser, mais surtout sensibiliser !
La question que l’on peut se poser également est «est-ce que changer ses habitudes, penser à effectuer de bonnes actions pour l’environnement chaque jours ne serait pas barbant ?». En effet, quand on doit sortir les poubelles ou encore penser à éteindre la lumière, parfois faire ce geste peut s’avérer être une corvée. On souffle, on y va à reculons, car l’homme est d’un naturel fainéant. Et oui, quand on n’en tire aucun intérêt à effectuer une action, pourquoi se fatiguer pour ?
Mais si un moment donné, on essaie de penser l’inverse : et si ces corvées se transformaient en jeu ? Le jeu motive, il donne un objectif à accomplir qui est source de satisfaction pour le cerveau. On joue ensemble, ou en compétition, pour être récompensé à la fin, tout en ayant bien agit. Le bien être se trouve alors dans les deux sens.
Maintenant, dans la vie de tous les jours, le jeu nous aide réellement à changer nos habitudes : le jeu est marquant. Quand il va falloir aller trier ses déchets, nous allons directement repenser au jeu inconsciemment. Nous allons nous rendre compte que c’est un geste simple qui ne demande pas tant d’effort, et l’action créé en jeu se change en habitude au fur et à mesure, car nous lions nos actions au jeu. L’apprentissage grâce au jeu est plus efficace, car il nous stimule.
Mais si un moment donné, on essaie de penser l’inverse : et si ces corvées se transformaient en jeu ? Le jeu motive, il donne un objectif à accomplir qui est source de satisfaction pour le cerveau. On joue ensemble, ou en compétition, pour être récompensé à la fin, tout en ayant bien agit. Le bien être se trouve alors dans les deux sens.
Maintenant, dans la vie de tous les jours, le jeu nous aide réellement à changer nos habitudes : le jeu est marquant. Quand il va falloir aller trier ses déchets, nous allons directement repenser au jeu inconsciemment. Nous allons nous rendre compte que c’est un geste simple qui ne demande pas tant d’effort, et l’action créé en jeu se change en habitude au fur et à mesure, car nous lions nos actions au jeu. L’apprentissage grâce au jeu est plus efficace, car il nous stimule.
Règles du jeu
Comment jouer à Eco’GO! :
Tout d’abord, il faut mélanger les cartes, puis placer la pioche au centre de la table. Le joueur le plus jeune commence la partie en piochant une carte. Le joueur lit à haute voix la carte. Mais attention ! Seul celui qui détient la carte peut annoncer le début de la manche, en disant «GO!». Après ça, les autres joueurs peuvent commencer à répondre à la question ou exécuter le défi.
C’est un jeu de rapidité : le plus réactif des joueurs tape 2 fois sur la table, comme un buzzer pour annoncer la fin de la manche. S’il s’est trompé / a échoué, la partie continue jusqu’à ce qu’un autre joueur réussisse. Le joueur reçoit donc la carte qu’il gardera précieusement. Chacun son tour, dans le sens des aiguilles d’une montre, les joueurs devront piocher.
Dès qu’un joueur ou une équipe atteint 7 cartes, il devra frapper 2 fois la table en disant «Eco» pour finir la partie et être déclaré vainqueur.
Plus de règles, plus de fun :
Pour se donner un peu plus de défi, on peut également jouer au mode «Eco’GO! Challenge». Ce mode de jeu est conçu pour les plus dégourdis aimant se mettre au défi : entre amis ou pour embêter les adultes, tout prétexte est bon pour devenir le meilleur écolo’.
• Chaque personne qui pioche une carte Défi peut ajouter un Malus de son choix. Par exemple : «Effectuez ce défi à cloche-pied», «les yeux fermés», «le dernier à un gage», «écrire quelque chose sur le déchet avant de le jeter», etc...
• Lorsqu'un joueur / équipe atteint 7 cartes, il devra effectué le rituel des 2 tapes en disant «Eco» avant que le prochain à jouer pioche une carte. Passer ce délai, le joueur / équipe devra attendre que ce tour se termine, s’il reste le premier dans le classement !
• Lorsqu'un joueur / équipe atteint 7 cartes, il devra effectué le rituel des 2 tapes en disant «Eco» avant que le prochain à jouer pioche une carte. Passer ce délai, le joueur / équipe devra attendre que ce tour se termine, s’il reste le premier dans le classement !
Nombre de carte :
74 cartes
• 30 cartes «Questions» ; Une carte qui propose plusieurs questions. (chaque cartes en double)
• 30 cartes «Défi» ; Une carte qui présente un défi. (chaque cartes en double)
• 6 cartes «A toi de jouer !» ; Cette carte joker permet au joueur qui l’a pioché de choisir sa question ou son défi.
• 6 cartes «Passe ton tour» ; Si le joueur pioche une carte, passe son tour au joueur suivant.
• 2 cartes «Règles du jeu» ; Les règles du jeu s’étendant sur 2 cartes.
• 30 cartes «Défi» ; Une carte qui présente un défi. (chaque cartes en double)
• 6 cartes «A toi de jouer !» ; Cette carte joker permet au joueur qui l’a pioché de choisir sa question ou son défi.
• 6 cartes «Passe ton tour» ; Si le joueur pioche une carte, passe son tour au joueur suivant.
• 2 cartes «Règles du jeu» ; Les règles du jeu s’étendant sur 2 cartes.
Nombre de joueurs :
3 joueurs ou +.
Peut se jouer en chacun pour soi ou en équipe (soit 3 équipe minimum).
Peut se jouer en chacun pour soi ou en équipe (soit 3 équipe minimum).
Cible
Jouer, interagir, petits et grands peuvent profiter et partager un bon moment. Il n’y a pas d’âge pour reprendre de bonnes habitudes, seines et essentielles pour aider notre planète : en plus d’éduquer les plus petits, les cartes sont également là pour faire prendre conscience des enjeux de ces gestes écolos, simples, mais très importantes.
Cas 1
Des parents entre 30 et 50 ans voulant réduire petit à petit leur empreinte écologique, et souhaitant par la suite instaurer cette culture éco-responsable à leurs enfants.
Cas 2
Des jeunes entre 14 et 25 ans prenant conscience des enjeux écologiques actuels, et qui souhaitent s’amuser avec leurs proches (amis, famille...) n’importe où, tout en s’imprégnant de ces habitudes envers l’environnement.
• Une famille en milieu urbain, qui par ce jeu peuvent reprendre des habitudes éco-responsables en pleine ville, où la population est le plus touché par la pollution. C’est aussi dans ces ville que l’on va rencontré la plus forte concentration de personne, contrairement aux campagnes, ce qui veut donc dire plus de déchet, plus de déplacement, plus de consommation.
• Une famille en milieu rural est plus directement exposée à la nature : c’est donc une opportunité pour sensibiliser à travers leur environnement même.
• La famille nombreuse demanderait plus d’effort, car il faut s’occuper des habitudes de chacun. Mais ce qui fait la force d’une grande famille, c’est l’effet de groupe : en s’unissant tous, on peut considérablement modifier nos mauvaises habitudes de vie. Les membres sont soudés, se soutiennent et s’entraident.
• Au sein d’une petite famille, il sera assez simple d’élaborer une nouvelle routine de vie et d’éduquer son enfant plus facilement en se concentrant sur son éducation. Les habitudes sont peut-être plus aisément encré, moins il y a de personne, moins il n’y a d’effort.
Objectif
Évoquer un design stimulant et ludique, ainsi que transmettre une culture éco-responsable. Il suscitera la prise de conscience et incitera le partage et la communion avec les membres de la famille et son environnement.
Ton
Vivant, réactif, dynamique
Missions
Création éditoriale d’un jeu de carte : ce qui comprend donc le design des cartes, les illustrations, le packaging, l’identité visuelle ainsi que les choix typographiques. Si on compte environs une trentaine de jeux dans chaque magasin (10 en rayon, 20 en stock), qu’il y a en moyenne 2 grands magasins par commune sur 272 communes de plus de 30 000 habitants, on en reviendrait à une édition d’environs 16 320 jeux de cartes distribués sur tout le territoire français.
J'ai décidé pour ce projet de développer mes recherches sur deux axes créatifs, afin d'offrir de la variété et d'étendre les possibilités : minimalisme écologique et la nature reprenant ses droits.
